Vinicius Tobias, ancien joueur du Real Madrid, a récemment fait les gros titres après avoir appris qu’un enfant qu’il pensait être le sien ne l’était finalement pas, à la suite d’un test ADN.
L’annonce a pris une ampleur considérable sur les réseaux sociaux, notamment sur X (anciennement Twitter), et a suscité un débat intense parmi les internautes. Cette découverte est d’autant plus marquante que le footballeur s’était fait tatouer le portrait de l’enfant sur son corps avant de connaître la vérité.
La nouvelle de cette paternité contestée a rapidement enflammé les réseaux sociaux, les internautes étant nombreux à commenter la situation. Selon les informations partagées, Vinicius Tobias et son ex-compagne avaient accueilli l’enfant il y a quelques mois, mais les doutes sur la filiation ont conduit le couple à effectuer un test ADN, révélant que l’enfant n’était pas celui de Vinicius.
Face à l’ampleur des réactions, l’ex-compagne de Vinicius a pris la parole sur Instagram pour clarifier la situation et calmer les critiques visant le footballeur.
Dans une déclaration publique, elle a expliqué :
« Comme tout le monde le sait déjà, Vinicius et moi ne sommes plus ensemble depuis longtemps, et pendant cette période de séparation, j’ai eu une relation avec quelqu’un d’autre, et lui aussi. Nous avons tous deux poursuivi notre vie, et au milieu de tout cela, Maitê est née. Nous avons décidé de faire un test ADN, et il s’avère que Maitê n’est pas la fille de Vinicius. »
Elle a également insisté sur le fait que Vinicius n’avait jamais été informé des résultats avant l’accouchement : « Je lui ai demandé de ne pas assister à l’accouchement et de ne rien publier sur Maitê jusqu’à ce que les résultats du test ADN soient connus. Vinicius et moi avons déjà discuté de tout et sommes parvenus à un accord à l’amiable. »
Malgré cet appel au calme, de nombreuses personnes ont continué à réagir à l’affaire, exprimant à la fois du soutien et de la sympathie pour Vinicius Tobias. D’autres ont critiqué la complexité de la situation, soulignant la douleur potentielle que le footballeur pourrait ressentir après s’être engagé émotionnellement et avoir immortalisé l’enfant par un tatouage.
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